Ils se regardent. Il y a un pont dans leurs yeux.

La main l'épaule l'hirondelle des seins, un dieu s'ouvre qui se distingue mal du néant, un poids égal d'âme remplace les choses, puis comme la beauté frappait sa face, le temps vient du sommeil qui sculpte les profils. Ici ailleurs, l'amour est l'été de la mort.

Lequel des deux verra l'autre mourir, vivra encore, retrouvera l'absence, lequel fera la toilette du mort?